CRITIQUER
Sans condamner
Je suis légitime de critiquer une action, un travail, un film, un livre…
À condition de prendre soin de distinguer cette action, cette production, cette création de la personne qui en est l’auteur sans pour autant dispenser l’auteur de ses responsabilités, de ses actes et de leurs conséquences.
J’ai toujours tort de faire un reproche. Rien, absolument rien ne le justifie. Dommage qu’il remplace souvent le désaccord, la contradiction et surtout la protestation.
Si j’éprouve un malaise, je peux laisser à mon interlocuteur la responsabilité de ce qu’il dit ou de ce qu’il fait mais nullement celle de l’effet provoqué sur moi.
À condition de prendre soin de distinguer cette action, cette production, cette création de la personne qui en est l’auteur sans pour autant dispenser l’auteur de ses responsabilités, de ses actes et de leurs conséquences.
J’ai toujours tort de faire un reproche. Rien, absolument rien ne le justifie. Dommage qu’il remplace souvent le désaccord, la contradiction et surtout la protestation.
Si j’éprouve un malaise, je peux laisser à mon interlocuteur la responsabilité de ce qu’il dit ou de ce qu’il fait mais nullement celle de l’effet provoqué sur moi.
C’est la précieuse et difficile leçon de la Communication Non Violente / Communication Responsable.
C’est un gage de ma maturité d’assumer la responsabilité de ce que je ressens, de tout ce que je ressens. Et uniquement de ce que je ressens.
Le jugement de valeur est un délit au même titre que le reproche : il emprisonne l’autre sous une étiquette.
Il est toujours plus prudent toute fois de rappeler que cette étiquette - positive ou négative - est une prison. « Tu est beau ou belle / intelligent·e » emprisonne tout autant que « Tu es laid·e / bête ».
Alors choisissons de parler de ce que nous éprouvons au lieu de juger !
Oui, critiquer sans ni blâmer ni censurer.
Critiquer avec discernement l’objet de la critique et respecter la personne qui en est l’auteur.
C’est un gage de ma maturité d’assumer la responsabilité de ce que je ressens, de tout ce que je ressens. Et uniquement de ce que je ressens.
Le jugement de valeur est un délit au même titre que le reproche : il emprisonne l’autre sous une étiquette.
Il est toujours plus prudent toute fois de rappeler que cette étiquette - positive ou négative - est une prison. « Tu est beau ou belle / intelligent·e » emprisonne tout autant que « Tu es laid·e / bête ».
Alors choisissons de parler de ce que nous éprouvons au lieu de juger !
Oui, critiquer sans ni blâmer ni censurer.
Critiquer avec discernement l’objet de la critique et respecter la personne qui en est l’auteur.
