GROUPE DE PAROLE
Un temps suspendu
Dans le groupe de parole, chacun peut oser dire « j’ai mal », « j’ai peur », « je suis jaloux » sans risquer d’être grondé·e, « moqué·e », encombré·e de morale ou d’explications …
Il ou elle se donne alors la chance de trouver écoute, bienveillance et réconfort.
Il est assuré d’être lui, elle est garantie d’être elle, plus important que les circonstances de son récit.
Les participant·e·s sont invité·e·s à distinguer « écouter la peur d’un membre du groupe » et « accueillir quelqu’un qui a peur et qui l’exprime ».
L’objectif pour chacun n’est pas de « s’accepter » comme il est mais de « se réjouir » de qui il est, avec ses manques, ses symptômes, ses névroses…
Au diable la perfection, l’idéal et les performances !
Il ou elle se donne alors la chance de trouver écoute, bienveillance et réconfort.
Il est assuré d’être lui, elle est garantie d’être elle, plus important que les circonstances de son récit.
Les participant·e·s sont invité·e·s à distinguer « écouter la peur d’un membre du groupe » et « accueillir quelqu’un qui a peur et qui l’exprime ».
L’objectif pour chacun n’est pas de « s’accepter » comme il est mais de « se réjouir » de qui il est, avec ses manques, ses symptômes, ses névroses…
Au diable la perfection, l’idéal et les performances !