PITIÉ
À l’opposée de l’empathie
Avoir pitié,
c’est manipuler.
C’est refuser à la victime la responsabilité, sans se résigner, de réagir/demander/obtenir/aménager sa vie;
c’est lui attribuer d’être en état d’infériorité, sans ressources suffisantes pour réagir;
c’est faire offense à qui elle est au-delà de ses difficultés : handicap, douleurs, échecs, précarité;
c’est le contraire de la compassion qui est gage de potentielle et bienfaisante solidarité.
c’est manipuler.
C’est refuser à la victime la responsabilité, sans se résigner, de réagir/demander/obtenir/aménager sa vie;
c’est lui attribuer d’être en état d’infériorité, sans ressources suffisantes pour réagir;
c’est faire offense à qui elle est au-delà de ses difficultés : handicap, douleurs, échecs, précarité;
c’est le contraire de la compassion qui est gage de potentielle et bienfaisante solidarité.