SOUFFRIR
Sentir jusqu’où ?
Ressentir sans subir, est-ce possible ? Et puis à quoi bon ?
Tout à coup, tout s’arrête. Rupture de la ligne du temps: il ne s’écoule plus avec la même fluidité.
J’ai mal.
Je me sens seul·e.
J’ai besoin d’aide, de présence, de soin(s) mais surtout de réconfort.
La douleur serait affaire de sensation. Le corps lance des signaux de détresse. Douleur physique qui mobilise l’attention, génère inquiétude ou détresse.
Tout à coup, tout s’arrête. Rupture de la ligne du temps: il ne s’écoule plus avec la même fluidité.
J’ai mal.
Je me sens seul·e.
J’ai besoin d’aide, de présence, de soin(s) mais surtout de réconfort.
La douleur serait affaire de sensation. Le corps lance des signaux de détresse. Douleur physique qui mobilise l’attention, génère inquiétude ou détresse.
La souffrance serait-elle d’abord rupture d’un équilibre émotionnel affectif ou mental ? C’est l’âme qui appelle à l’aide - ou non.
Le malheur pourrait, lui, s’accompagner d’une expérience d’exclusion, de bannissement, renforçant ainsi le sentiment de solitude.
Dans tous les cas, retour à une détresse d’autant plus profonde qu’elle renverrait à nos toutes premières expériences d’enfants en souffrance, à la fois dépendants et démunis.
Qui devinait l’horreur d’une otite, la cruauté d’une séparation ou ma peur du noir ?
Qui était là pour moi ?
Le malheur pourrait, lui, s’accompagner d’une expérience d’exclusion, de bannissement, renforçant ainsi le sentiment de solitude.
Dans tous les cas, retour à une détresse d’autant plus profonde qu’elle renverrait à nos toutes premières expériences d’enfants en souffrance, à la fois dépendants et démunis.
Qui devinait l’horreur d’une otite, la cruauté d’une séparation ou ma peur du noir ?
Qui était là pour moi ?