STRESS
Sel ou poison ?
Avant de devenir - parfois - poison mortel, il est sel de la vie.
Il nous fait quitter le confort du connu, les commodités du familier et leurs recoins mortifères. Il est facteur de santé : mouvement, rencontres, émotions, découvertes... Il nous invite à préférer l’aventure aux habitudes, l’audace à la paresse, les espaces de la Mongolie à l’exiguité du jardin de curé. Objet de préjugés, il est injustement condamné, confondu avec le surmenage, rebaptisé « burn-out », alors que son déficit est à l’origine de somatisations et de troubles tout aussi inquiétants.
Il nous fait quitter le confort du connu, les commodités du familier et leurs recoins mortifères. Il est facteur de santé : mouvement, rencontres, émotions, découvertes... Il nous invite à préférer l’aventure aux habitudes, l’audace à la paresse, les espaces de la Mongolie à l’exiguité du jardin de curé. Objet de préjugés, il est injustement condamné, confondu avec le surmenage, rebaptisé « burn-out », alors que son déficit est à l’origine de somatisations et de troubles tout aussi inquiétants.
Non, ce n’est pas le stress - même en excès - qui est destructeur mais l’expérience du stress sans l’expression des émotions qui l’accompagnent. Alors attention à ne pas confondre la nécessité vitale de mobiliser son énergie au service de ses projets avec la frilosité encouragée par les sages sous prétexte de prudence.
La santé serait-elle davantage fruit de la gourmandise qu’hypoglycémie sur ordonnance sociale ou familiale ?
Oui, du sel, pas de sucre !
La santé serait-elle davantage fruit de la gourmandise qu’hypoglycémie sur ordonnance sociale ou familiale ?
Oui, du sel, pas de sucre !